Annonces

La plus haute distinction décernée au directeur de recherche de St. Louis

Farshid Guilak, Ph. D., fait partie de la cohorte de 2022 des élus de la National Academy of Medicine.

Farshid Guilak, Ph. D., a été élu à la National Academy of Medicine

Le directeur de recherche du Shriners Children’s St. Louis, Farshid Guilak, Ph. D., a récemment reçu l’une des plus hautes distinctions dans les domaines de la santé et de la médecine : être élu à la National Academy of Medicine.

Il fera partie de la cohorte de 2022, la même année où il a été élu à la National Academy of Engineering et à la National Academy of Inventors. Ces distinctions sont décernées aux personnes qui démontrent leur professionnalisme et leur engagement à servir de manière remarquable.

L’occasion de changer les choses

En devenant membre de ces trois académies, M. Guilak a une véritable occasion de changer les choses dans les domaines de la santé, de la médecine et de l’innovation.

« Le rôle de ces académies est de conseiller le gouvernement sur des questions d’ingénierie ou de médecine. Je suis très honoré d’avoir l’occasion de contribuer à l’échelle nationale et de souligner l’importance du travail interdisciplinaire entre les domaines de l’ingénierie et de la médecine », dit-il.

L’élargissement des possibilités

Actuellement, M. Guilak dirige plus d’une dizaine de projets de recherche axés sur la prévention et le ralentissement des effets dégénératifs de l’arthrose et de l’arthrite chronique juvénile. C’est toutefois son travail en ingénierie cellulaire qui a attiré l’attention de la National Academy of Medicine et la National Academy of Engineering, précise-t-il.

Grâce à l’ingénierie du génome, son équipe de recherche a réussi à créer une cellule artificielle après des dizaines d’années de travail. Cette cellule est capable de libérer une substance curative lorsqu’elle détecte une inflammation dans le corps. Selon une étude, les cellules modifiées injectées dans du cartilage peuvent éliminer la douleur et prévenir les effets dégénératifs lorsqu’une inflammation est imminente. Dans les dix prochaines années, M. Guilak espère pouvoir offrir ce traitement à des patients dans le cadre d’essais cliniques.